MALHEUREUSEMENT, LES SYMPTÔMES DU CANCER DU FOIE APPARAISSENT TROP TARD.

Le mois d’octobre est l’occasion d’attirer l’attention sur le cancer du foie dans le monde entier. L’incidence du cancer du foie est en hausse dans différentes régions d’Europe. Cependant, la population n’est guère au courant des facteurs qui peuvent entraîner un cancer du foie. De plus, un foie malade reste longtemps asymptomatique, raison pour laquelle le cancer du foie est souvent détecté trop tard.

Un diagnostic et un traitement précoces sont importants pour éviter la progression de la maladie et faire le bon choix thérapeutique afin d’obtenir si possible une guérison. Prenez conscience de ce qui est bon pour le foie et de ce qui peut lui nuire grâce à notre outil.

Les questions d’auto-évaluation des facteurs de risque de cancer du foie ont été développées sous la direction professionnelle de l’hépatologue Andreas Kremer, de l’Hôpital universitaire de Zurich, en collaboration avec Carina Bobzin, présidente bénévole de l’Association suisse des patients atteints de maladies du foie Swiss HePa et Roche.

Ce bilan hépatique vous permet d’en savoir plus sur vos facteurs personnels pouvant contribuer à l’apparition d’un cancer du foie.
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Le cancer du foie, surnommé le « tueur silencieux », est le 6ème type de cancer le plus fréquent dans le monde. La forme la plus courante de cancer du foie est le carcinome épatocellulaire (CHC). Le CHC a un mauvais pronostic pour ceux qui sont diagnostiqués à un stade tardif de la maladie. C‘est pourquoi un diagnostic aussi précoce que possible du CHC est essentiel pour améliorer les résultats du traitement. Bien que le foie puisse se régénérer, certains facteurs de risque liés à nos gènes ou à notre mode de vie et à notre environnement font du cancer du foie un cancer répandu et de plus en plus fréquent.